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jardiner avec la nature pas contre accueil contact visiteurs il y a 1 visiteur en ligne méta inscription connexion flux rss des articles rss des commentaires recherchez aussi : - gazon japonais - calendrier floraison - prairie fleurie - modeles architecturaux chez plantes - prairies fleuries catégories 0. ecologie urbaine vergers (fruitiers) 00. prefigurer grimpantes i. eco-conception a. infrastructures berges réseau ferroviaire b. bâti 2. bâtiments façades végétalisées toitures végétalisées c. plantations 1. intérêts saisonniers dont calendrier des floraisons 03 mars 04 avril 11 novembre 2. choisir des plantes adaptées à son jardin arbres arbustes jardins secs en été pelouses, gazons & prairies plantes de terrains humides & aquatiques plantes de terre acide plantes des pelouses calcaires plantes invasives toitures végétalisées toitures végétalisées vivaces 3. fournisseurs ii. gestion environnementale calendrier du jardinier 02 février 03 mars 06 juin 11 novembre 12 décembre conserver du bois mort engrais mauvaises herbes méthodes alternatives au tout-chimique pieds d'arbres taille & élagage non classé sols e. jardins secs une trame verte et bleue a paris : pourquoi ? comment ? posté par paul-robert takacs le 12 mars 2015 les travaux de renforcement engagés ces dernières années sur les trames verte et bleue (tvb), à l’échelle de différents territoires (quartiers, communes, départements, régions…) sont issus d’une ambition des grenelle de l’environnement. le ministère le l’écologie et du développement durable définit la trame verte et bleue comme « un outil d’aménagement du territoire qui vise à (re)constituer un réseau écologique cohérent, à l’échelle du territoire national, pour permettre aux espèces animales et végétales, de circuler, de s’alimenter, de se reproduire, de se reposer… en d’autres termes, d’assurer leur survie, et permettre aux écosystèmes de continuer à rendre à l’homme leurs services. » la tvb d’un territoire est typiquement constituée de réservoirs de biodiversité reliés entre eux par des corridors écologiques un réservoir de biodiversité est une zone vitale, riche en biodiversité, où les individus peuvent réaliser l’ensemble de leur cycle de vie : abri / habitat, alimentation, reproduction… un corridor écologique est une voie de déplacement, empruntée par la faune et/ou la flore, entre deux espaces de biodiversité. une tvb est constituée de la combinaison des sous-trames aquatique, humide, minérale, herbacée, arbustive, arborée, noire… quelques problématiques tvb la diminution du nombre et de la qualité écologique des territoires de vie des espèces les obstacles à la circulation des espèces = fragmentation des territoires > isolement des espèces les ruptures de continuité des territoires ou des corridors principes du renforcement des tvb pour éviter l’isolement des espèces et ainsi une perte de biodiversité, la tvb vise à maintenir et à reconstituer les corridors écologiques, à l’échelle nationale, en tant que réseau d’échange permettant aux espèces animales et végétales de pouvoir circuler, s’alimenter, se reproduire et permet ainsi de préserver la biodiversité. modalités pratiques pour le renforcement des tvb planter davantage de plantes indigènes, même régionales natives, améliore l’attractivité pour la faune locale une diversité végétale amène une diversité animale ne pas se contenter d’une diversité spécifique, mais introduire aussi une diversité individuelle : pas de clones ! la diversité des habitats / milieux est le support de la diversité végétale une continuité, relative ou absolue, des habitats est nécessaire, y compris grâce à l’existence de corridors écologiques entre habitats fonctionnels plan biodiversité de la ville de paris la ville de paris a signé en 2011 son 1er plan biodiversité : un recueil de 30 actions favorables à la biodiversité dans le contexte urbain dense de la capitale. en 2015, le plan sera révisé, compte tenu notamment de l’état d’avancement des actions entreprises entre-temps. publié dans 0. ecologie urbaine , 00. prefigurer , c. plantations | pas de commentaire » les nombreux avantages des toitures végétalisées (en ville) posté par paul-robert takacs le 27 novembre 2014 adapté d’après l’article original http://journalmetro.com/monde/674712/les-nombreux-avantages-des-toits-verts/ par daniel casillas pour metro world news 26/11/2014 source : wikimedia commons les toits verts – c’est-à-dire couverts de végétation – permettent de rendre les bâtiments plus frais et plus écoénergétiques. végétaliser le bâti devrait permettre de : réduire l’incidence globale du cadre bâti sur la santé humaine (isolation thermique, phonique…) et l’environnement, en… …diminuant les nécessités de climatisation, donc la consommation d’énergie, donc les émissions de ges …régulant l’effet des précipitations (rejets d’une eau pas si sale aux égouts, donc surcharge des réseaux après une forte averse) ; la rétention d’eau participe à l’effet rafraîchissant en cas de chaleur réduire le gaspillage d’énergie, d’eau réduire la pollution (laquelle ? les ges ne constituent pas une pollution à strictement parler) améliorer la productivité des employés qui y travaillent (agrément ?) un rapport publié cette année par le groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (giec), un organisme onusien, note que les techniques de construction respectueuses de l’environnement laissent entrevoir «des économies d’énergie potentielles de l’ordre de 50 à 90% dans les constructions neuves et existantes». par ailleurs, des technologies à haut rendement énergétique permettent d’envisager une réduction potentielle des émissions de co2 de 20 à 45%, une augmentation de l’efficacité des infrastructures de 30 à 70%, une amélioration de l’efficacité en matière d’émissions de ges de 20 à 45% et une réduction de la demande de services de 20 à 40%. un moyen économique et efficace de participer à l’initiative des édifices verts est d’aménager des toits verts – c’est-à-dire de couvrir des toitures de végétation afin qu’elles soient belles et conservent l’énergie de façon optimale. les spécialistes estiment qu’un toit vert offre plusieurs avantages publics, notamment une meilleure gestion des eaux pluviales, la réduction des îlots de chaleur, l’amélioration de la qualité de l’air, des économies d’énergie et la préservation de la biodiversité urbaine. selon des données d’une conférence de l’organisme green roofs for healthy cities, les toits verts captent de 70 à 90% des précipitation qui y tombent durant l’été, permettent de rafraîchir la température de l’air près de la surface (jusqu’à 16,4°c en moyenne) et réduisent le smog ainsi que la diffusion des poussières et des particules de matière dans la ville. de nombreuses métropoles ont commencé à constater les avantages qu’offrent les toits verts. «dans le monde, les immeubles verts sont de plus en plus nombreux, car on les considère de plus en plus comme des occasions d’affaires à long terme. près de 51% des architectes, ingénieurs, entrepreneurs, propriétaires et consultants ayant participé à notre étude prévoient que plus de 60% de leur travail portera sur des immeubles verts d’ici 2015», révèle un rapport de la société d’analyse financière mcgraw hill intitulé world green building trends 2013. questions-réponses avec steven w. peck, fondateur et président de green roofs for healthy cities quels problèmes urbains les toits verts peuvent-ils permettre de résoudre? la population profite de plusieurs avantages concrets quand l’administration d’une ville instaure des politiques favorisant l’aménagement et l’entretien de toits verts. parmi ceux-ci, on peut citer une meilleure gestion des eaux pluviales, la réduction des îlots de chaleur, l’amélioration de la qualité de l’air, des économies d’énergie, la préservation de la biodiversité urbaine, l’embellissement des quartiers, le développement de l’emploi local (emplois verts) et plus d’occasions d’aménagement d’espaces verts actifs et pa